Dans le contexte du marché unique européen et de l’internationalisation croissante des organisations productives et des échanges, les Entreprises sont confrontées à la question suivante: comment assurer au mieux et au moindre coût financier, social et humain l’intercompréhension des personnes de langues et de cultures diverses appelées à travailler ensemble ?
Pour certains, la réponse semble avoir déjà été trouvée : l’anglais s’impose de fait comme langue universelle et unique de tout échange international permettant aux interlocuteurs de toutes les langues du monde de se comprendre au moindre coût.
Peut-on cependant s’en tenir à un tel dogme, sans débat et sans jamais s’interroger sur sa légitimité ?
Les conséquences économiques et sociales négatives de ce qui se nomme désormais le « tout anglais » sont devenues trop évidentes pour que cette interrogation demeure longtemps éludée. L’émergence des protestations et des luttes sociales menées récemment dans certaines entreprises pour exiger le droit à l’usage de sa propre langue dans son travail conduit donc la CFE-CGC à vouloir ouvrir ce débat.
C’est sur ces bases qu’a été décidée l’organisation de la Conférence « Le tout anglais dans l’Entreprise : du mythe à la réalité et à la recherche de solutions alternatives » qui aura lieu à Paris, le 7 mars prochain.
- Pour en savoir plus sur le contenu de la Conférence, cliquer ici
- Pour connaître les conditions de participation, contacter Christine Maillet :
christine.maillet@cfecgc.fr – 01 55 30 12 30
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