Ainsi donc le candidat-président-sortant veut faire du prochain 1er Mai la fête du «vrai» travail c’est-à-dire, selon sa propre expression, la fête «de ceux qui travaillent dur, de ceux qui sont exposés, qui souffrent et qui ne veulent plus que, quand on ne travaille pas, on puisse gagner plus que quand on travaille».
Ceux qui, justement, travaillent dur, subissent des conditions de travail pénibles, apprécieront. Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’ils n’ont pas été à la fête au cours de ce quinquennat.
Le travail, aussi, a perdu son triple A…
Ainsi débute la tribune (très) libre signée par François Desriaux, Rédacteur en chef du magazine Santé&Travail, publiée dans le numéro du quotidien Libération daté du vendredi 27 avril 2012.
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